La French Tech
Qu’est-ce que La Mission French Tech ? La French Tech Grande Provence et l’écosystème startup ? Comment sont-elles nées ? Quelles sont leurs missions ? C’est depuis 2013 la belle aventure française de l’innovation.
L'AFPC, Association Française des Pôles de Compétitivité a publié la première édition de son Baromètre du moral des Innovateurs. En quoi ce baromètre est important ?
Si de nombreuses startups sont réunies sous le drapeau French Tech, les Pôles de Compétitivité jouent un rôle considérable en termes d’accompagnement auprès des startups matures, des PME et ETI.
54 pôles de compétitivités sont labellisés en France rassemblant 2000 laboratoires et Établissements d’enseignement supérieur et 10 000 entreprises innovantes. Ils accompagnent 2 000 projets d’innovation. 7,5 milliards d’euros ont été investis dans des projets d’innovation depuis 2004.
La Région Sud compte 7 Pôles de compétitivité dont Innov’Alliance, le Pôle SCS, Capenergies, avec qui la French Tech Grande Provence collabore régulièrement en termes d’événements et en tant que prescriptrice auprès des startups.
La première édition du Baromètre du moral des Innovateurs portée par l’AFPC arrive à point nommé dans une période de forte incertitude macro-économique, financière et géopolitique.
Qui a été interrogé ?
Les répondants sont essentiellement des startups, PME et ETI réunis dans les Pôles de Compétitivité, up, TPE et PME, avec une forte
représentation des secteurs du numérique, de l’agri agro et de l’énergie.
En synthèse
Les enjeux liés à la transition environnementale sont fortement intégrés aux projets d’innovation, et l’IA et le digital transforment en
profondeur les secteurs, d’après les 2/3 des répondants.
La France est perçue majoritairement comme un pays leader (mais pas LE pays leader) en Europe , mais plutôt en retard à l’échelle globale.
Les principaux freins à l’innovation sont financiers (58% des sondés), humains (50%) et réglementaires (40%).
Les répondants dont l’organisation est membre d’un Pôle de compétitivité sont moins nombreux à déclarer que les financements sont difficiles à obtenir (39% contre 59%) et encore plus confiants que l’échantillon dans son ensemble sur les perspectives des 5 ans à venir (86% contre 71%).
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